On ne se relit jamais trop.
Il m'arrive de scribouiller assez souvent quelques lignes , intitulées « langue française », publiées un peu partout. Avant publication, je me relis trois fois, ce qui me permet d'éviter des inadvertances.
Récemment quelqu'un me signale aimablement dans mon scribouillage ce qu'il considère comme une faute d'orthographe. Or ladite faute était vraiment due à l'inattention. Je vais devoir passer à quatre relectures. Si j'avais écrit « la filozofie », on aurait eu raison de me blâmer. Mais dans le cas d'espèce l'inadvertance était flagrante.
Il n'en demeure pas moins qu'on ne se relit jamais trop
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