lundi 29 juillet 2019


SUR LE BLOG DE PHILIPPE BILGER,JE SCRIBOUILLE CES PAUVRETES :

Monsieur Robert Marchenoir,

  1. Nos échanges d'ici sont assommants pour les autres. Et d'abord pour notre chère modératrice. Par mails, ils auraient supprimé l'ennui que nous infligeons à tous. Par bonheur, la plupart ont eu la bonne idée de zapper cette péniblissime séquence.
  2. Notre chère modératrice a eu la gentillesse de s'entremettre entre plusieurs d'entre nous, qui échangent par mail et/ou par téléphone.
  3. Chacun sachant ici que vous ne voulez faire connaître ni votre téléphone, ni votre adresse, ni votre profession, ni votre tête, ni votre mail à personne, il est impossible d'imaginer un seul instant que j'aurais demandé votre mail à l'un de mes vingt correspondants de ce blog, qui ne pouvait que l'ignorer.
  4. La personne qui m'a spontanément communiqué , je ne sais pourquoi, votre mail se trouve parmi mes 283 amis Facebook. Comment cette personne connaissait-elle votre mail ? Je l'ignore et je m'en moque. Est-ce un secret d'Etat ? Cette communication est-elle un crime ?
    Vu le très haut degré de paranoïa qui est le vôtre, je suppose que vous n'êtes pas loin de le penser. Permettez-moi de sourire.
  5. Je redis que je communiquerai mon adresse, mon téléphone, mon mail et ma (très jolie) photo à qui voudra. Je présume que personne n'aura l'intention de venir me trucider.
    A moins de croire que connaître le mail de Robert Marchenoir (ou sa binette ou sa profession) soit un crime. Je dis tout de suite que si je suis assassiné dans quelque temps mon assassin s'appelle Robert Marchenoir. J'en informe ma famille pour faciliter l'enquête.
  6. Je ne suis pas certain qu'il faille opiniâtrement continuer ici nos aimables échanges dans les prochaines semaines , les prochaines années , ou, horresco referens, les prochaines décennies.

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