dimanche 18 février 2024

PSEUDOS (suite). Sur plusieurs blogs, divers gens à pseudos allèguent Voltaire, Stendhal, Gracq...qui, comme on sait, ont usé de noms d'emprunt, pour justifier leur choix de ne pas écrire en signant de leur vrai nom. Il y a plusieurs siècles signer de son nom pouvait vous envoyer en prison ou au bûcher. Est-ce le cas en France en 2024 ? Je reconnais par ailleurs que, dans plusieurs professions, il est risqué d'écrire certaines choses rendues publiques. Ma situation dans la société me permet de ne rien craindre du jugement d'autrui sur mes scribouillages numériques. Je ne vois donc pas pourquoi je devrais me masquer d'un pseudo. Je maintiens que l'anonymat est un des fléaux de la Toile.

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