mardi 1 septembre 2020
L'affaire Obono et moi
J'ai écouté et lu des centaines d'interventions sur l'affaire Obono.
Je devrais me taire parce que je n'ai pas lu l'article en question et que je ne le lirai pas. Je n'achète que la version provinciale du « Parisien » ( qui vient de passer de 1,30 à 1,40). Ni Libé, ni Le Figaro, ni Le Monde. Aucun hebdo : c'est trop cher. En médiathèque municipale , je parcours la presse nationale qu'elle offre gratuitement à ses lecteurs.
J'ai entendu les arguments de tout le monde , à la radio comme à la télé.
Une chose me surprend : personne n'a souligné que l'auteur du texte dont on a débattu est signé par un pseudonyme : Harpalus ! Comme c'est bizarre. Comment : pas un seul journaliste de ce journal n'a eu le courage de signer cette prose de son vrai patronyme ? Et pourquoi donc ?
Comme le Parquet de Paris s'est auto-saisi, la justice va s'adresser au journal, faute de s'adresser à un auteur.
Attendons.
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