mercredi 18 mars 2020


VIRUS , NIVAQUINE , FOULE, TABAC

Notre gouvernement à décidé le confinement. J'observe les conseils qui nous sont donnés. Tout don-ne à penser que le nombre morts va baisser progressivement. Je le souhaite, je l'espère, comme tout le monde.
Un médecin marseillais a observé qu'en donnant de la Nivaquine à des malades victimes du coronavirus la charge virale s'effondrait. Comme on disait cela au célèbre et omniprésent médecin
Gérald Kierzek, il a plusieurs fois voulu modérer les enthousiasmes en alléguant des « effets indésirables ». Des centaines de médicaments actuels ont une foule d'effets indésirables et sont toujours autorisés et prescrits. Et je peux témoigner qu'ayant pris vingt ans cet antipaludéen, en en- seignant le français en Afrique noire, je n'ai pu observer sur moi aucun effet indésirable. Pourquoi ne pas donner dès maintenant de la Nivaquine à tous les patients victimes du coronavirus ?
Je conviens n'aimer que deux situations : la solitude ou le dialogue (amoureux ou amical). Dès que je suis dans un groupe de trois, j'aime moins cette situation. On devinera ce que je pense des groupes plus importants, des manifs, des foules de concerts de rap ou de rock, des supporteurs de foot...Je n'y vais jamais. C'est dire si la situation française , de ce point de vue, me navre peu.
Dans les commerces autorisés par le gouvernement, je note avec étonnement les bureaux de tabac.
Si c'était pour permettre le vente des journaux, je m'en réjouirais. Mais quand tout ou presque, pour une raison de santé, est fermé, autoriser les tueurs que sont les buralistes ! Le tabac est responsable de la mort de 200 personnes par jour. Si l'on songe avant tout à notre santé, on aurait pu saisir l'occasion de sauver des ces vies-là aussi.Quand la crise du virus sera passée, je propose d'ailleurs la fermeture de tous les buralistes de France. Comme je propose la fermeture de toutes armureries.
On le voir, il n'y a pas que le gouvernement français qui se préoccupe de la vie et de santé des Français. Il y a moi.

Patrice Charoulet, blogueur


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