vendredi 13 octobre 2023
Je tombe sur ce texte, dont j'ignore l'auteur :
Une fois de plus, l'attaque du Hamas contre Israël montre le caractère potentiellement génocidaire de l'islam. Ce que l'on voit ici à l'œuvre, c'est non seulement l'aspect totalitaire de cette religion, mais aussi son antisémitisme délirant, irrationnel, similaire à celui d'Hitler.
Lequel appelle la barbarie. De même que les soldats nazis jetaient les bébés juifs en l'air avant de les faire éclater en morceaux comme au tir aux pigeons, de même les "militants de la cause palestinienne" tuent des Juives, avant de parader devant leur cadavre dénudé en lui crachant dessus.
Comme si elle tenait à revendiquer sa parenté avec la volonté génocidaire des nazis, l'armée du Hamas a pris en otage une grand-mère rescapée de l'Holocauste.
Il est évidemment illusoire de penser que ce que réclament les agresseurs, c'est une aimable solution centriste avec deux États. Ils ne font pas mystère de leur "antisionisme" : être antisioniste consiste à réclamer l'éradication de l'État d'Israël, puisque le sionisme est le mouvement qui, à partir du XIXᵉ siècle, a milité pour l'établissement d'un État juif en Palestine.
Comme en Ukraine, ce à quoi nous assistons ici est une tentative de "finir le travail" après la Seconde Guerre mondiale, qui a conduit à la création de l'État d'Israël en 1948. Les néo-communistes du Kremlin, qui ont réussi à subjuguer la moitié de l'Europe après 1945, et pensent que ce n'était encore pas assez, estiment qu'ils ont le droit de reconquérir les terres "perdues" en 1991, à la chute de l'URSS.
Pour ce faire, ils emploient une idéologie et des méthodes extraordinairement similaires à celles des nationaux-socialistes allemands, jusque dans les moindre détails.
Le délire poutiniste qui voit des nazis partout, en particulier dans l'Ukraine tout entière unie derrière un président juif, mais aussi dans tous les pays occidentaux, est un hallucinant décalque de l'antisémitisme nazi, qui voyait des Juifs partout et leur attribuait tous les maux du monde.
Au Moyen-Orient, les nazis ont contribué à créer l'identité nationale palestinienne, avant qu'elle ne soit renforcée par les communistes soviétiques.
C'est Hitler qui a financé le grand mufti de Jérusalem Hadj Amin al-Husseini, et lui a offert la possibilité d'émettre en arabe, depuis Berlin, pour appeler à la Solution Finale contre les Juifs. Al-Husseini avait préconisé leur génocide dès 1937, dans son "Appel à tous les musulmans du monde", avant même les nazis, à une époque où ceux-ci n'avaient encore pour objectif que de les pousser à l'émigration.
(Aller sur le site Archive.org, chercher le site www.newenglishreview.org, puis sélectionner la capture faite le 31 janvier 2018. Enfin, se reporter à l'article d'Ibn Warraq intitulé "Grand Mufti Haj Amin al-Husaini and the Nazis".)
Le parti nazi avait des cellules à Jérusalem, Haïfa, Jaffa, au Caire, à Alexandrie, Port-Saïd, Tripoli, Tunis, Ankara, Istanbul, Izmir, Adana, Beyrouth, Bagdad, Téhéran et Kaboul.
Mais c'est dès 1928 qu'intervint le réveil de l'antisémitisme musulman fanatisé, avec la création des Frères musulmans par Hassan al-Banna. Grand-père du militant islamiste Tariq Ramadan, il a entretenu des liens très proches avec le grand mufti Hadj Amin al-Husseini.
Après la guerre, c'est Yasser Arafat, présenté comme un "Palestinien modéré", qui a repris le flambeau du grand mufti, auquel il a faussement prétendu être apparenté. Lui aussi a été aidé par les nazis : des réfugiés en Égypte qui lui ont appris le maniement des armes.
Tout le monde connaît le rôle décisif des communistes russes dans le soutien, le financement, l'armement et l'entraînement du "mouvement palestinien". Yasser Arafat, né en Égypte, a été doté, par le KGB, d'un faux certificat de naissance à Jérusalem, dont il avait besoin pour créer la légende du "peuple palestinien". Il a, comme d'innombrables autres agitateurs anti-occidentaux du Tiers-Monde, fait ses études à l'université Patrice Lumumba de Moscou.
Après la chute de l'URSS, et malgré de bonnes relations avec Israël, la Russie a continué sa politique consistant à attiser l'islamisme comme une arme de guerre contre l'Occident. Politique qui remonte au congrès de Bakou organisé, en 1920, Lénine. Vladimir Poutine, lui-même, a déclaré en 2006 qu'il ne considérait pas le Hamas comme une organisation terroriste.
Les méthodes de l'armée du Hamas, en Israël, rappellent trait pour trait celles de l'armée russe en Ukraine : dans un cas comme dans l'autre, les attaquants sont allés de maison en maison, abattant les civils de sang-froid, au fusil, face à face.
Dans un cas comme dans l'autre, ils se sont livrés au viol pour mieux souligner leurs intentions génocidaires.
Le viol des Juifs par les Arabes est une vieille habitude, d'ailleurs, de même que l'amputation des organes génitaux masculins. Atrocité que les Russes ont aussi pratiquée en Ukraine, de même que le viol a été pratiqué, à une grande échelle, par les nationaux-socialistes allemands comme par les communistes russes durant la Seconde Guerre mondiale.
L'Occident aliomente parfois, au Moyen-Orient, le mythe des "Palestiniens modérés", de même qu'il s'est fait tromper avec constance, depuis un siècle, par l'URSS, puis par Hitler et enfin par la Russie poutinienne, imaginant qu'une volonté de "dialogue" serait à même de faire émerger un "compromis" en réalité introuvable.
Il oublie ainsi un trait caractéristique des totalitaires et des génocidaires en tout genre : leur obstination à atteindre leurs objectifs, et leur propension à employer la dissimulation pour les masquer.
Même des chefs palestiniens supposés modérés, comme Mahmoud Abbas et son Premier ministre Ahmed Qoreï, ont implicitement appelé à la destruction complète d'Israël.
En 1996, le premier a exprimé l'espoir qu'à l'avenir, les Palestiniens deviendraient "indissolublement mélangés" avec les Juifs -- et il n'est pas besoin d'être devin pour comprendre que cela signifierait la disparition de l'État d'Israël.
La même année, le second a expliqué qu'en signant les accords d'Oslo, l'OLP n'avait fait que "signer un accord provisoire qui lui avait été imposé". "Quand nous avons consenti à ces accords, nous avons obtenu des territoires, mais pas l'intégralité du territoire palestinien. Nous avons obtenu des droits, mais pas la totalité de nos droits. Nous n'avons pas renoncé à un seul pouce de ce territoire."
Dès 1968, Yasser Arafat ne faisait pas mystère des objectifs de l'OLP : "Créer et maintenir une atmosphère de stress et d'anxiété, qui oblige les sionistes à se rendre compte qu'il leur est impossible de vivre en Israël."
Soit exactement ce que vient de faire le Hamas en déclenchant sa nouvelle attaque, d'une sauvagerie sans précédent. Hamas qui réclame ouvertement la disparition d'Israël dans sa charte.
L'islamo-nazi Hadj Amin al-Husseini, mort qu'en 1974, déclarait quelques mois avant sa disparition : "Notre regard reste fixé sur notre objectif stratégique : la Palestine depuis le Jourdain jusqu'à la mer Méditerranée." Autrement dit, l'éradication d'Israël. "Aucune des concessions que nous avons arrachées jusqu'à présent ne peut nous faire oublier cette vérité suprême."
Quant aux gros malins qui soutiennent que la création d'Israël, en 1948, est moralement condamnable, car résolvant au détriment des Arabes un problème incombant à l'Europe, ils oublient non seulement la forte complicité arabo-nazie, mais les longs siècles durant lesquels les musulmans se sont employés à opprimer, chasser voire exterminer les Juifs. Et les chrétiens, faut-il le rappeler.
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