vendredi 21 août 2020
LE PSEUDONYMAT SUR LA TOILE
Depuis trois ans, j'écris des commentaires sur divers blogs très influents et très connus. J'écris en signant de mon vrai prénom et de mon vrai nom. Il m'est arrivé de dire ma ville, ma profession, mon âge et mes opinions. Je m'exprime aussi maintenant sur Facebook où j'ai plus de 1500 amis « virtuels », dont un très grand nombre de philosophes, de journalistes, de politiques, de politistes...
Comme presque tous les facebookiens, j'ai mis sur Facebook une photo..
J'ai quelques opinions qui reviennent assez régulièrement , notament, ma haine des pseudos (j'ai dit pourquoi), mon aversion pour les racismes (j'ai dit pourquoi).
Sur le blog de Philippe Bilger, que je recommande, une dame à pseudo , qui est allée voir sur Facebook, déclare que j'ai, je cite,
« une tête de raciste » ! Sympa ! Et fastoche ! La dame n'a pas de nom (sauf sur Facebook), n'a pas de tête ( sauf sur Facebook) et s'exprime sur un blog en toute liberté. Elle n'a pas dit une obscénité, elle n'a pas utilisé les injures qu'emploient les alcooliques devant les policiers le samedi soir (Pédé, Enculé, Fils de pute, Je nique ta mère...) qui encourent en tribunal correctionnel une assez belle amende. Je ne suis pas fonctionnaire de police.
Une dame à pseudo peut me dire une insulte, que certains trouveront pas bien grave, voire amusante, lue par quelques centaines de personnes, dont quelques-unes sont des amis ou des personnes estimables que j'ai appris à connaître .
Sans conséquence, en toute quiétude.Et elle pourra récidiver joyeusement.
Voilà les effets du pseudonymat. C'est indéfendable, je le maintiens.
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