REFLEXIONS GENERALES SUR LA LIBERTE
D'EXPRESSION
Je ne m'adresse pas à l'un d'entre
vous, ni à deux d'entre vous, mais à tout le monde.
Mais ceux qui se situent eux-même très
à droite de l'échiquier politique sont plutôt concernés par ce
que je vais dire.
Si vous vous situez politiquement dans
cette zone, libre à vous.Vous pouvez exprimer votre inquiétude en
songeant à la délinquance, à l'immigration, à telle religion, à
la misère immobilière de la police ou à son manque de moyens, à
l'insuffisance de la réponse pénale, à l'impossibilité
d'accueillir sur notre sol tous ceux qui veulent y venir, à la
porosité des frontières,aux conditions d'accession aux allocations
pour les nouveaux arrivants...
La Code pénal s'applique partout, ce
n'est pas à un ancien haut magistrat que je vais l'apprendre.
Partout, même sur un blog où règne
la liberté d'expression, et il faut se réjouir de cette liberté.
L'injure.
Or, deux articles du Code pénal ne
peuvent être bafoués.
D'une part l'article condamnant
l'injure publique. Quand un fantôme injurie publiqement une personne
à patronyme, le maître du blog, qui possède l'identité de
l'insulteur, peut ou bien
effacer l'injure, ou le prier de ne
plus récidiver.
En second lieu, nous ne sommes pas aux Etats-Unis, mais en France. Dans notre heureux pays,
l'incitation à la haine raciale n'est pas considérée par notre
Code pénal comme une opinion, mais comme un délit. Pour ne pas
contrevenir à la loi, nul ici comme ailleurs (mais ailleurs le
maître du blog peut ignorer la loi n'ayant pas eu la formation du
maître d'ici) ne doit pouvoir se permettre d'écrire : « Je
suis raciste ». « Vive le racisme ! » Si ce
n'est pas de l'incitation à la haine raciale, c'est quoi ?
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire