VARIA
La droite est le parti de l'Ordre.
(Jérôme Jaffré)
Les partis sont en ruines. (Bercoff)
Le grand lama. (Stendhal, de
Chateaubriand)
Un paon insupportable. (Mérimée, de
Chateaubriand)
Mon jeune lubrique (Flaubert, à
Maupassant)
L'amitié, c'est l'amour sans le corps.
(Onfray)
La crise des « gilets jaunes »,
c'est le retour de la lutte des classes. (Roquette)
Le peuple, c'est tout le monde. (X)
Faut-il mettre les gagnants au bout
d'une fourche ? (X)
Mieux vaut ne pas être un gendarme ou
une vitrine, quand on se trouve sur le passage des gilets jaunes.
(Jacques Julliard)
Les gilets jaunes, c'est les gens de
peu en mode ZAD . (Jean Viard)
...dans le lâche confort de
l'anonymat...(édito du Monde)
L'extrême infériorité mentale des
foules (Gustave Le Bon, 1895)
Il est difficile de percer au barreau.
(Drieu, 1932)
Aphatie, après son BEPC , obtenu
après repêchage, quitte l'école à 14 ans.
Cet océan d'ingratitude qu'est le
monde moderne (Péguy, 1913 , L'Argent)
Dans la grande manif du 30 mai 68, pour
De Gaulle (un million de gens), je vois une admirable pancarte « NON
A L'ANARCHIE ! » (film écrit par Patrice Duhamel, à la
télé)
Parlant du Brexit, ce matin à RTL ,
François Longlet (RTL) : « Il n'est pas facile d'être à
la fois vierge et enceinte ».
Vu le flux pénal actuel (comparutions
immédiates), « une audience a fini ces jours-ci à six heures
du matin » (Le Monde)
...la prolifération d'improbables
porte-parole... (Philippe Raynaud, parlant des gilets jaunes)
EM a été disruptif. Puis éruptif.
(Gérard Courtois)
Comprenez-vous le mot disruptif ou disruption? Moi, non.
RépondreSupprimerDe même,je comprends les mots pulsion ou impulsion, impulsivité aussi, mais non pas compulsion.
"L'extrême infériorité mentale des foules" vient de ce qu'elles sont versatiles.
Cher Julien,
SupprimerSur disruptif et compulsion, le TLF vous dira tout.
Gustave Le Bon, a écrit tout un livre sur la psychologie des foules. La versatilité est, en effet, un trait.
Et connaissez-vous le mot "subreption"?
RépondreSupprimerSUBREPTION, subst. fém.
SupprimerSUBREPTION, subst. fém.
A. DR. CANON., vx. Obtention d'une grâce, d'un privilège sur un faux exposé, en omettant sciemment et précisément un fait qui s'y opposerait. Obtenir une faveur par subreption. Moyens d'obreption et de subreption. ,,Moyens apportés pour établir la preuve que des lettres de chancellerie sont obreptices et subreptices, et, par conséquence, en obtenir la nullité`` (Ac. 1798-1878).
B. LOG. ,,Sophisme qui consiste à introduire dans le raisonnement un changement de sens ou un postulat dissimulé`` (AUR.-WEIL. 1981). Le langage de la syllogistique (...) permettrait de glisser dans le discours sans que la subreption se décelât d'elle-même, des relations de cause à effet nullement réduites à quelque chose comme des relations de principe à conséquence (HAMELIN, Élém. princ. représ., 1907, p. 269).
Prononc. et Orth.: []. Att. ds Ac. dep. 1694. Étymol. et Hist. 1316 subrection « surprise par laquelle on obtient une décision sur un faux exposé » (doc. ds GDF. Compl.); 1341 subreption (A.N. JJ 73, fo 251 ro, ibid.). Empr. au lat. jur. subreptio « larcin, subreption », dér. de subrepere « se glisser sous ». Bbg. VAGANAY (H.). Notes sur la lang. du 16e s. R. de Philol. fr. 1933, t. 45, pp. 149-150.
Trouvé dans le TLF, cher Julien.
Merci, Patrice. Je n'avais pas pensé au fait que "subreption" était de la même famille que "subreptice". Auriez-vous le lien du TLF?
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