vendredi 26 juillet 2019

SUR LE BLOG DE PHILIPPE BILGER :


Monsieur Robert Marchenoir, car tel est bien votre nom (votre mail ne me démentira pas), ce n'est pas sans hésitation que je m'adresse à vous. Présent ici depuis trois ans, j'ai eu l'occasion de vous lire maintes fois. J'ai quelques dadas. Vous avez les vôtres. Les trois sujets que vous affectionnez sont la Russie (et Poutine), le libéralisme économique (avec la haine des fonctionnaires) et les races.
Sur le premier sujet, ne sachant rien, je ne dis rien. Je suis favorable au libéralisme, n'étant ni com-muniste ni socialiste. Je ne pense pas qu'il faille supprimer les fonctionnaires de la police, de la justice, de la santé, de l'enseignement...Sur le troisième sujet, j'ai cru devoir développer des arguments contre vos opinions, qui me semblaient erronées. J'ai décidé depuis quelques mois de me taire. Quand on entend : L'eau ne mouille pas, le feu ne brûle pas, trois et trois font cinq, est-il abso-lument nécessaire d'entreprendre une réfutation ?
Mary Preud'homme et Aliocha ont continué, contrairement à moi, à ferrailler contre vous. Votre fan-club (quelques anonymes) vous soutient et leur envoie quelques coups d'épingle en passant .
Sur ce blog, silence presque complet entre nous deux, sur ledit thème .
Je lis un alinéa final de l'une de vos proses qui se termine par un chiffon rouge « le collectionneur de dictionnaires ». C'est une périphrase, à visée railleuse, j'imagine, qui me désigne à la population .
Je n'entreprendrai pas ici une apologie des dictionnaires. Je vois peu d'ouvrages plus utiles. Ils sont presque tous en ligne (TLF, Littré, Académie...) Mais tout n'est pas en ligne. Les dictionnaires de synonymes (le Bénac), les dictionnaires de difficultés de la langue française, les dictionnaires d'argot,les dictionnaires spécialisés actuels, par exemple ne sont pas en ligne. Quand je veux savoir le sens précis d'un mot, j'y arrive toujours. Je ne suis pas sûr que ce soit toujours votre cas. Le mot « gauchisme », par exemple (mais vous n'êtes pas le seul en France) n'est pas toujours employé dans vos écrits avec une grande pertinence.
Allusion finale à votre serviteur. C'était un tir groupé. Les deux autres cibles étaient Aliocha et Mary Preud'homme. Vous vous avisez tout à trac de demander « sa race » à MON AMI Aliocha ;
Là, vous vous surpassez ! Le fan-club (on connaît les pseudos) a dû rigoler. Il est fort, Marchenoir !
Croyez-vous cela beau ? Et si Aliocha était un bamboula ou un bougnoule?Il n'aurait plus qu'à la boucler ! Et moi, Marchenoir, je resterais maître des lieux .Nul n'a jamais vu votre binette, Monsieur Robert Marchenoir. Mary Preud'homme a eu l'imprudence de révéler que son défunt mari n'avait pas  la blancheur suédoise qui vous enthousiasme. Elle a « un cheval dans la course », dites-vous . Tordant ! Allez, le fan-club ! Hi,hi, hi. Quant à à votre serviteur, bamboula ou bougnoule ? Ouvrez votre Facebook. Consultez Madame Duvent . J'ai caché dans mon tiroir ma vraie photo de bougnoule ou de Mamadou, et j'ai mis une photo d'échappé de prison, vilaine, voir Mme Duvent, mais faiblement  dosée en mélanine.. Demandez son Facebook à votre voisin.
Alors que nul n'a vu votre tronche, que nul ne sait votre métier, votre téléphone, votre adresse, vous dépassez toutes les bornes en osant demander à MON AMI Aliocha : « C'est quoi, votre race ».
Honte à vous ! Et Honte à votre fan-club, qui va se croire obligé de la ramener !

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