Pascal Bruckner et le giletjaunisme
En plein giletjaunisme,après avoir
subi des kilomètres de démagogie dans les médias, quel plaisir de
lire l'interview de l'essayiste Pascal Bruckner (Le Figaro, 10 déc.).
Si je pouvais, j'aurais fait un
copié-collé.Mais « Jean-Julien,je ne puis » (chanson).
Morceaux choisis.
« Le 1er décembre, à Paris, des
casseurs ont voulu détruire la France. »
« La police a sauvé la
République. »
« L'Etat de droit ne doit pas
être le droit de détruire l'Etat. »
« La haine de l'argent chez les
Français est surtout la haine de l'argent des autres. »
« Les Français sont excédés
par la chienlit. »
« Si vous commettez des
violences, vous n'êtes plus des victimes mais des barbares. »
« Les professeurs de haine se
ramassent à la pelle. » (Mélenchon, Ruffin, Besancenot,
Todd...)
« (Les lycéens) font joujou avec
la révolte. »
« la racaille cagoulée »...
J'aurais pu dire et écrire tout ça.
Le Figaro n'est pas venu me chercher. Je comprends un peu.
Ma notoriété se limite à quatre
personnes. Pas assez. Et mes œuvres sont restées dans mes tiroirs.
J'avais suggéré à Phippe Bilger
d'être candidat Quai Conti. Il m'a dit que je me trompais.
Je souhaite que Jean-Michel Delacomptée
se mette sur les rangs.
Bruckner est candidat. Je vote pour
lui.
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