samedi 1 décembre 2018

Le 1er décembre 2018




Je commente sur son blog Philippe Bilger, qui a écrit des Gilets Jaunes  notamment au début de son texte : 

« Depuis le début j'ai, à ma place, compris et soutenu leur mouvement, notamment par l'entremise de Sud Radio et des Vraies Voix qui n'ont pas cessé de les écouter et de les faire parler. »

Certes, la suite de vos réflexions, corrige ce début, en mettant en relief tout ce qui ne va pas dans ce
mouvement.

Pour ma part, j'ai immédiatement pressenti les mille dangers et les mille faiblesses de ce grand « n'importe quoi ». C'est d'ailleurs cette expression à laquelle vous venez à la fin de votre texte.
Je le redis : un mouvement sans chef, sans structure, sans programme, sans négociateurs, avec cent doléances disparates, variables d'un rond point à l'autre ne pouvait attirer la sympathie que des naïfs et des inconscients.

J'ai flairé le pire. Nous y sommes. Je ne dis pas cela pour soutenir le chef de l'Etat ou le gouvernement, mais pour condamner totalement cette chienlit et ces velléités révolutionnaires.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire