Je commente sur son blog Philippe Bilger, qui a écrit des Gilets Jaunes notamment au début de son texte :
« Depuis
le début j'ai, à ma place, compris et soutenu leur mouvement,
notamment par l'entremise de Sud Radio et des Vraies
Voix qui
n'ont pas cessé de les écouter et de les faire parler. »
Certes,
la suite de vos réflexions, corrige ce début, en mettant en relief
tout ce qui ne va pas dans ce
mouvement.
Pour
ma part, j'ai immédiatement pressenti les mille dangers et les mille
faiblesses de ce grand « n'importe quoi ». C'est
d'ailleurs cette expression à laquelle vous venez à la fin de votre
texte.
Je le
redis : un mouvement sans chef, sans structure, sans programme,
sans négociateurs, avec cent doléances disparates, variables d'un
rond point à l'autre ne pouvait attirer la sympathie que des naïfs
et des inconscients.
J'ai
flairé le pire. Nous y sommes. Je ne dis pas cela pour soutenir le
chef de l'Etat ou le gouvernement, mais pour condamner totalement
cette chienlit et ces velléités révolutionnaires.
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