lundi 10 décembre 2018

Le lundi 10 décembre 2018



Trois choses.

Un. Le prétendu « second degré ». Des groupies de mon agresseur allèguent le prétendu « second degré » qui aurait été le sien dans ses propos. Qui peut m'expliquer où se trouve le second degré quand on dit de quelqu'un qu'il serait « docile », « à plat ventre », « lâche » et « paurve type » ?

Deux. Quand on dénigre les fonctionnaires, sans autre précision, je signale que se trouvent dans cette catégorie non seulement les urgentistes en burn out, les forces de l'ordre qui ont sauvé le pays samedi dernier, mais aussi les magistrats du siège ou du parquet. Et que le reproche qui m'est fait est donc sans le moindre fondement.

Trois. Les gilets jaunes médiatiques. Une vingtaine de gilets jaunes ont été invités dans plusieurs radios et télés. J'ai déjà dit et je redis qu'on a fait assaut de démagogie et de complaisance à leur égard. Non, cent fois non, ces gens ne sont pas des oracles ou des phares de la pensée politique contemporaine. L'un d'entre eux, prié de dire à quel gouvernement il rêvait, a eu l'ingénuité de dire qu'il verrait bien Pierre de Villiers à Matignon. Cela donne lieu à d'infinis commentaires. Basta ! Je signale qu'il songeait aussi à Ruffin , le révolutionnaire au couteau entre les dents, comme ministre du Travail. Les laudateurs de ce gilet jaune, bon pour Charenton, sont priés de se calmer.

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