Trois choses.
Un. Le prétendu « second
degré ». Des groupies de mon agresseur allèguent le prétendu
« second degré » qui aurait été le sien dans ses
propos. Qui peut m'expliquer où se trouve le second degré quand on
dit de quelqu'un qu'il serait « docile », « à
plat ventre », « lâche » et « paurve
type » ?
Deux. Quand on dénigre les
fonctionnaires, sans autre précision, je signale que se trouvent
dans cette catégorie non seulement les urgentistes en burn out, les
forces de l'ordre qui ont sauvé le pays samedi dernier, mais aussi
les magistrats du siège ou du parquet. Et que le reproche qui m'est
fait est donc sans le moindre fondement.
Trois. Les gilets jaunes médiatiques.
Une vingtaine de gilets jaunes ont été invités dans plusieurs
radios et télés. J'ai déjà dit et je redis qu'on a fait assaut de
démagogie et de complaisance à leur égard. Non, cent fois non, ces
gens ne sont pas des oracles ou des phares de la pensée politique
contemporaine. L'un d'entre eux, prié de dire à quel gouvernement
il rêvait, a eu l'ingénuité de dire qu'il verrait bien Pierre de
Villiers à Matignon. Cela donne lieu à d'infinis commentaires.
Basta ! Je signale qu'il songeait aussi à Ruffin , le
révolutionnaire au couteau entre les dents, comme ministre du
Travail. Les laudateurs de ce gilet jaune, bon pour Charenton, sont
priés de se calmer.
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