samedi 3 août 2019


Guillaume Larrivé (suite)

Je suis allé écouter Guillaume Larrivé, député, candidat à la présidence LR, jeudi soir, à Dieppe.
J'en ai déjà parlé.
J'avais oublié de dire ceci, qui ne me semblait pas important : Deux minutes, après mon arrivée, je me trouve à côté d'un homme qui ne cesse de prendre des photos. Je l'aborde et je lui dis : « Vous travaillez à Paris-Normandie, aux Informations dieppoises? »Réponse : « Non, au Parisien. » Question : « Vous êtes venu avec le candidat ? »
Réponse : «  Non, j'ai pris le train . » Fin du dialogue. Pendant l'intervention ( deux heures) ce monsieur a bien dû prendre 500 photos, y compris en visant le public.
Vendredi matin, j'ouvre mon « Parisien » et je cherche un article là-dessus. Rien. Ce samedi, je re-commence. Oui ! Un article. Je lis. C'est plein de vacheries. Quelques épithètes peu agréables, sur l'orateur, sur le public, sur la taille de la salle, avec des éloges sur un autre candidat, absent. On a payé le train Paris-Dieppe, à ce monsieur, son restaurant, son article, il a fait 500 photos, ...Tout ça
pour ça !
Mais, j'y repense : cet « envoyé spécial » (dixit le Parisien) avait des tatouages plein les bras.
Mauvais signe ! Ma longue expérience de la vie (je suis septuagénaire) m'a notamment appris ceci : il y a trois mauvais signes : les tatouages partout, les catogans (Dans le Parisien récemment, j'avais sursauté en lisant « son élégant catogan ») et les piercings (nez, lèvre, sourcil...). Signes infaillibles.

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