Guillaume Larrivé (suite)
Je suis allé écouter Guillaume
Larrivé, député, candidat à la présidence LR, jeudi soir, à
Dieppe.
J'en ai déjà parlé.
J'avais oublié de dire ceci, qui ne me
semblait pas important : Deux minutes, après mon arrivée, je
me trouve à côté d'un homme qui ne cesse de prendre des photos. Je
l'aborde et je lui dis : « Vous travaillez à
Paris-Normandie, aux Informations dieppoises? »Réponse :
« Non, au Parisien. » Question : « Vous êtes
venu avec le candidat ? »
Réponse : « Non, j'ai pris
le train . » Fin du dialogue. Pendant l'intervention (
deux heures) ce monsieur a bien dû prendre 500 photos, y compris en
visant le public.
Vendredi matin, j'ouvre mon
« Parisien » et je cherche un article là-dessus. Rien.
Ce samedi, je re-commence. Oui ! Un article. Je lis. C'est plein
de vacheries. Quelques épithètes peu agréables, sur l'orateur, sur
le public, sur la taille de la salle, avec des éloges sur un autre
candidat, absent. On a payé le train Paris-Dieppe, à ce monsieur,
son restaurant, son article, il a fait 500 photos, ...Tout ça
pour ça !
Mais, j'y repense : cet « envoyé
spécial » (dixit le Parisien) avait des tatouages plein les
bras.
Mauvais signe ! Ma longue
expérience de la vie (je suis septuagénaire) m'a notamment appris
ceci : il y a trois mauvais signes : les tatouages partout,
les catogans (Dans le Parisien récemment, j'avais sursauté en
lisant « son élégant catogan ») et les piercings (nez,
lèvre, sourcil...). Signes infaillibles.
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