DE GAULLE, POMPIDOU, MACRON
Après cette folle présidentielle, et
les péripéties incroyables que l'on sait, M. Macron, sans
expérience d'élu, sans parti, s'est retrouvé au pouvoir. Certes,
il nous a évité le clan Le Pen.
Mais pour part , je n'ai pas eu un seul
instant la moindre illusion espérances pour ce premier dans- un- concours- de-
circonstances.
La ridicule « itinérance
mémorielle » aurait pu n'être que ce que l'expression
promettait. Mais M.
Macron, comme à Saint-Martin, comme à
la fête de la mlusique élyséenne, est retombé dans ses travers.
Bisous, selfies, caresses, discutailleries avec Germaine Brougnard et
Fernand Dugland.
Non seulement la « parole rare »
, justement vantée par Pilhan, a été enterrée, mais où est la
verticalité ? Où est est la distance du chef ? Où est la
majesté présidentielle ? Où est la monarchie républicaine ?
De Gaulle, Pompidou, voilà des gens qui avaient le profil et qui n'abaissaient pas la fonction. Depuis 58, les vrais présidents, les vrais monarques républicains, n'ont pas été légion;
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